Tous les chemins mènent à Rome, film dans lequel Gérard Philipe opère un virage comique, après La Chartreuse de Parme et Une si jolie petite plage, est annoncé dans une publicité pleine page de La Cinématographie Française de 1948.
Micheline Presle racontera par la suite à Gérard Bonal que le film avait pâti d’une direction inadéquate, manquant de rythme. Gérard Philipe aurait souhaité reprendre la direction d’acteur ; ce qui ne fut pas possible. Il avait probablement accepté ce film autant pour « casser son image » de « romantique triste », que par amitié pour le scénariste Jacques Sigurd, avec lequel il partagea un temps un appartement.
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